Postface

Ghostfaher est un pont entre la littérature et la musique dites populaires. Par son histoire, ses personnages et ses multiples références, il est une ode à la pop, anglo-saxonne comme Française. Et par sa nature, il est l’un de ses romans qui parlent à tout un chacun, quels que soient son vécu et sa culture personnels.

Ici, le « sexe, drogue et rock’n’roll » n’est pas gratuit, mais un prétexte à s’interroger sur la sensibilité, la force du destin, la prédestination, l’importance de la transmission génétique[Note_19], sans oublier bien sûr la parentalité et la perpétuation consciente ou non d’un modèle éducatif.

Nous terminerons logiquement par quelques mots issus de la chanson Dust in the wind du groupe Kansas :

Same old song
Just a drop of water in a endless sea
All we do
Crumbles to the ground, though we refuse to see

Dust in the wind
All we are is dust in the wind

Now, don't hang on
Nothings last forever but the earth and sky
It's sleeps away
And all your money won't another minute buy

Dust in the wind
All we are is dust in the wind

La même vieille chanson
Juste une goutte d’eau dans une mer sans fin
Tout ce que nous faisons
S’effondre, bien que nous refusions de le voir

De la poussière dans le vent
Nous ne sommes que de la poussière dans le vent

Maintenant, ne t’attache pas
Rien ne demeure d’autre que la terre et le ciel
Tout finit par s’en aller
Et tout l’argent du monde ne t’offrira pas une minute de plus

De la poussière dans le vent
Nous ne sommes que de la poussière dans le vent